Nouvelle matière
Il m’est venu une réflexion l’autre jour, l'autre nuit plutot, une nuit de pleine lune, une de ces nuits où je perds le sommeil, je m'égare... Mais bon c'est pour dire que je cogite sur tout et n'importe quoi à n'importe quel moment du jour et de la nuit.
Donc en répertoriant toutes mes notes sur l’alimentation,
Où trouver du fer, du calcium, du magnésium ?
Quels sont les aliments essentiels courants ? Ceux à privilégier certaines saisons ?
Quelles sont les associations bénéfiques et celles qui sont néfastes pour notre organisme ?
Connaitre les aliments à boire et à manger et ceux qui peuvent être appliqués sur le corps.
Les antioxydants, les hydratants, les détoxifiants, les drainants, les spécifiques.
Les légumineux, les céréales, les protéines, les glucides, etc, etc…
Je me suis dit que la nutrition, la diététique était un savoir essentiel que chacun de nous devrait posséder.
Que pour vivre nous devions nous nourrir et s’il y avait bien une matière qui manquait dans le cursus scolaire c’était celle-là.
ÇA DEVRAIT ÊTRE LA 1ERE CHOSE À APPRENDRE,
À NOUS ENSEIGNER DÈS LA MATERNELLE.
C’est vital pour notre équilibre.
Depuis l’homme de Cro-magnon qui a du se sacrifier souvent en expérimentant comme un chimiste, genre :
Si je mange un pissenlit ça fait quoi ? rien.. De la cigüe ? Crac ! Bon celui-là éliminé !
Si je mange un poisson cru, ça fait quoi ? Et cuit ? Du mamouth ou du rat ? Beurk ou pas Beurk ?
Comment ils ont dû au fil des siècles faire des expériences plus ou moins heureuses, planter, cultiver, récolter, cuisiner, pour qu’en quelques centaines années on en perde tout le bénéfice ! Que tous ces savoirs se soient perdus.
Bon je sais que les religions se sont appropriées le savoir pour mieux dominer les hommes à une certaine époque, puis elles ont distribué des droits à certains pour commercer ou pas ces savoirs. Je ne rentrerai pas dans l’Histoire avec un grand H parce que je n’en sais pas assez sur le sujet, mais il est certain que nous devrions connaitre les bases de la nutrition dès notre plus jeune âge.
Si notre ministre de l’éducation nationale passe par là, je lui suggère d'approfondir le dossier et pourquoi pas, faire quelques propositions allant dans le sens de mon article.
Moi je dis ça, j’dis rien.